À l’heure où les marchés immobiliers traditionnels sont en perte de repères, Euryale réaffirme sa conviction : la santé n’est pas seulement un besoin collectif, c’est aussi une classe d’actifs stratégique, défensive et porteuse de sens. Dix ans après le lancement de la SCPI Pierval Santé, l’entreprise poursuit son développement avec une ambition clairement assumée : bâtir la première plateforme européenne d’investissement santé non coté, en diversifiant les classes d’actifs tout en consolidant son expertise immobilière. Zoom Invest était au déjeuner de presse pour l’affirmation de cet engagement.
Un ADN 100 % santé et une diversification maîtrisée
« Nous avons pris la position de se dire qu’on était 100% immobilier de santé, nous allons maintenant être à 360° santé. » C’est par ces mots que Jean-Jacques Olivié, président d’Euryale, a posé le décor. Depuis plus de dix ans, la société s’est spécialisée dans une niche désormais devenue une classe d’actifs à part entière. Sa spécificité repose sur deux piliers :
- un positionnement exclusivement centré sur la santé,
- et un engagement sociétal affirmé, à travers la structure de mécénat portée par tous ses véhicules.
Mais face aux mutations des marchés immobiliers, Euryale Services a choisi de franchir une nouvelle étape : compléter son expertise immobilière en s’ouvrant aux autres formes d’investissement dans la santé (private equity, club deals, produits structurés, etc.), tout en restant fidèle à sa mission : mobiliser l’épargne privée au service de l’intérêt général.
Un nouveau cap avec Euryale Horizons Santé
Lancé en juin 2025, Euryale Horizons Santé marque une étape décisive dans cette stratégie de diversification. SCPI thématique de rendement à capital variable, elle se distingue de Pierval Santé par son positionnement plus dynamique sur le couple risque/rendement, tout en restant dans le champ sanitaire. « Nous ne cherchons pas à cannibaliser nos véhicules, mais à proposer une allocation harmonieuse et cohérente à nos 60 000 associés, en fonction de leurs profils », a souligné Thierry Scheur, directeur général opérationnel d’Euryale Services.
Elle cible spécifiquement :
- le soin de courte durée (cliniques, SSR),
- le bien-être (résidences seniors non médicalisées, établissements de remise en forme),
- et les sciences de la vie (life sciences, recherche, biotech).
Avec un objectif affiché : 35 % d’exposition en Amérique du Nord, où les besoins et les opportunités, notamment dans le secteur du life science, sont considérables.
Une approche multi-produit : SCPI, club deals, private equity, structurés
Au-delà des SCPI, Euryale Services poursuit le déploiement d’une stratégie multi-canal :
- Des club deals santé, plus agiles, dédiés aux family offices et investisseurs fortunés,
- La SC Trajectoire Santé, distribuée en assurance vie, avec un positionnement intermédiaire et des perspectives de transformation en fonds européen,
- Des produits structurés comme « Athéna Santé Juillet 2025 », pour les investisseurs recherchant un profil plus risqué et un rendement plus élevé,
- Et même une incursion dans la healthtech via une prise de participation dans la société Ziwig, spécialisée dans le diagnostic de l’endométriose par test salivaire.
L’objectif est clair : faire émerger un écosystème d’investissement santé non coté, dans lequel les solutions s’emboîtent, se complètent et convergent vers un même horizon d’impact.
La santé, un actif patrimonial stratégique face à l’urgence sanitaire et patrimoniale
La stratégie d’Euryale repose sur un constat : la santé est devenue une urgence structurelle, aggravée par le vieillissement de la population, la pénurie de structures médicales et l’explosion des maladies chroniques. « Il est temps de réorienter l’épargne des Français vers les vrais besoins », insiste Jean-Jacques Olivié.
Quelques chiffres suffisent à prendre la mesure du défi :
- 108 000 places en EHPAD manquantes d’ici 2030,
- un déficit de 1 500 maisons de santé en France,
- un parc immobilier hospitalier souvent vétuste.
« La santé est un actif prime », résume Jean-Jacques Olivié. Et de fait, le secteur coche toutes les cases :
- Acyclique, car indépendant des cycles économiques,
- Résilient, avec un taux d’occupation supérieur à 96 %,
- Prévisible, grâce à des baux longs (jusqu’à 30 ans dans certains pays),
- Utile, au cœur des besoins sociétaux contemporains.
La preuve : en 2024, le marché de l’immobilier de santé a atteint 7,8 Mds € en Europe et plus de 11 Mds € en Amérique du Nord. Dans ce contexte, Euryale entend jouer un rôle de leader, en proposant une offre lisible, diversifiée et durable, capable d’aligner impact et performance.
Le projet d’Euryale dépasse la simple logique de rendement. Il incarne une nouvelle forme de finance utile, où l’épargne privée devient un levier de transformation du système de soins.
« Nous voulons créer un pont entre les investisseurs et les acteurs de santé, en leur donnant les moyens de se développer, d’innover, et de mieux répondre aux besoins des populations », conclut Jean-Jacques Olivié.
En devenant la plateforme européenne de l’investissement santé, Euryale ouvre une nouvelle voie : celle d’un capitalisme d’impact, ancré dans le réel, qui investit dans des infrastructures vitales, résilientes et durables. Un pari d’avenir, au croisement de la rentabilité et de l’intérêt général.
Investir en SCPI comporte un risque de perte en capital. Il s’agit d’un investissement de long terme pour lequel la liquidité peut être limitée et dont le capital et les revenus ne sont pas garantis. La SCPI est soumise à d’autres risques tels que notamment le risque de change, de durabilité et le risque lié à une gestion discrétionnaire. Ceci est une communication publicitaire. Pour prendre connaissance des risques veuillez consulter le DIC et la note d'information de chaque SCPI disponibles sur le site Internet d'Euryale : https://www.euryale-am.fr/toutesnossolutions/, avant de prendre toute décision d’investissement. Les rendements et les dividendes ne sont pas garantis. Le don effectué par la SCPI Pierval Santé ou par la SCPI Euryale Horizons Santé ne peut donner lieu à réduction d’impôt ni pour la SCPI, ni pour les investisseurs.