LE DÉBRIEF de la réunion d'Altaroc
Par Zoom Invest
Cette réunion a donné l’occasion à Frédéric Stolar, Directeur Général d’Altaroc, de nous livrer les secrets de la réussite dans le Private Equity (PE)
On y parle : marché du PE, performances du secteur, millésime II de la Société de Gestion (en cours de souscription) ou encore outils de suivis mis à disposition pour le marché français (CGPs, Family Office et banques privées).
Quelques éléments de marché sur le PE
Le marché du PE en France « n’a pas encore démarré », seulement 0,4% de l’épargne est positionné sur des solutions de PE et ce constat peut être généralisé à l’Europe.
Aux Etats-Unis, JP Morgan draine 20% de ses encours sous gestion sur ce segment. « Toutes les grandes familles ou institutionnelles » sont « équipés aux US ». Pour exemple, le pourcentage moyen de PE pour les Family Office américains est de 32% (VS 26% il y a déjà 10 ans).
La loi Pacte a introduit en France la possibilité d’intégrer des FCPR dans les contrats d’assurance vie afin d’orienter l’épargne française sur ces solutions !
Est-ce que le PE surperforme la bourse ?
Graphes à l’appui, Frédéric Stolar nous démontre la capacité du PE à surperformer « les actions internationales ». L’écart est d’en moyenne 7% par an sur les 20 dernières années (+5,3% MSCI World, Global PE Index : 12,2%). Si l’on prend l’univers d’investissement d’Altaroc, c’est-à-dire uniquement le premier quartil, l’écart de performance est encore plus flagrant : environ 15 % par an, sur 20 ans.
Le fort différentiel de Ratio de Sharpe entre le PE et les actions internationales (meilleures performances et moins de volatilité pour le PE) s’explique en grande partie par « l’absence de liquidité » sur la classe d’actifs.
Il ajoute qu’historiquement le PE n’a jamais connu de performances calendaires négatives y compris lors des grandes crises financières (performances moyennes du PE en 1991 : +32%, 2001 : +22% 2009 : +22%). C’est donc un produit « structurellement décorrélé » des marchés financiers.
Les règles d’or du PE
Selon Frédéric Stolar, il existe trois règles d’or pour investir sur cette classe d’actifs :
- Identifier les meilleurs gérants et avoir accès aux fonds sursouscrits
- Bien choisir « les verticales » : Capital Croissance et Capital Transmission pour Altaroc
- Diversifier les gérants mais ne pas en avoir trop afin de ne pas tendre vers la performance moyenne du PE.
Quelle est la réponse Altaroc ?
Après une très belle réussite sur le premier millésime (Alataroc Global), 180M€ de collecte en 10 semaines pour une taille cible initiale de 90M€ et des investissements sur plus de 100 entreprises en croissance dont 60 licornes.
La société lance son second millésime à travers un FPCI qui cible 500M€ d’encours et des engagements mis en place avant même d’avoir levé les fonds, à travers « 5 des plus grands gérants de PE du monde ». Un « exploit » qui se nomme Maurice Tchenio (co fondateur) qui a garanti aux différents fonds un engagement de 320M€, à travers Altamir, dans les fonds d’exception qui constituent le deuxième millésime.
Les places sont chères puisqu’Altaroc « a déjà levé 300M€ », sur ce fonds ouvert à la souscription jusqu’au 15 Décembre 2022.
Processus d’investissement
1/ Univers d’investissement de départ : 6000 fonds par an
2/ Filtre sur le segment : Capital Growth et Buy Out – 2000 fonds
3/ Filtre sur l’expérience des équipes : minimum 30 ans d’expérience et 5 millésimes
4/ Filtre de performances : minimum 20% de performances nettes de frais sur les 20 dernières années (2x la mise)
5/ Filtre sur les secteurs : « uniquement ceux qui surperformeront l’économie mondiale » : Technologie (50%), Santé (20%), Services (20%) et Consommation à dimension digitale (10%).
Une fois les filtres effectués, il reste 200 fonds... C’est au tour de l’équipe de gestion constituée de 3 gérants avec presque 100 années d’expérience cumulées, de faire le choix des sous-jacents.
Compositions du portefeuille Altaroc Global 2022
Une diversification géographique est nécessaire avec une exposition cible de l’ordre de 40% Amérique du Nord, 20% Asie et reste du monde, et 40% Europe.
Le fonds a déjà engagé plus de 320M€ à travers 5 fonds parmi les « meilleurs au monde sur leur segment » :
Les promesses de ce « millésime » :
- Performances : une « projection » minimale de 10% de TRI soit 1,7x la mise
- Fort alignement d’intérêts : Au-delà des 320M€ d’engagement à travers Altamir auprès des fonds (précédemment mentionné), les deux fondateurs mentionnent un investissement à hauteur de 33M€ aux mêmes conditions que les investisseurs privés sur chaque millésime
- Forte transparence : en donnant accès aux investisseurs à un reporting de qualité institutionnelle à travers une plateforme « révolutionnaire » permettant de suivre l’ensemble des actualités des sociétés en portefeuille par « transparisation »
Une offre sera prochainement disponible en assurance vie française chez les principaux assureurs de la place. A suivre…
Pour plus de renseignements, l’équipe commerciale dirigée par Aurélia Lovadina, reste à la disposition des partenaires intéressés par ce millésime, qui est éligible au nominatif pur et administré ou encore sur les contrats d’assurance vie luxembourgeois.